Le lycée organise des événements mémorables comme des bals, des bals de fin d’année et des remises de diplômes. Joséphine, de Camarillo, en Californie, a raté son bal de promo en 1961. Son petit-fils, Michael Ganczewski, avait pour objectif de remédier à cette situation. Lors de son bal de promo, il a décidé d’offrir à sa grand-mère l’expérience du bal qui lui manquait. Ganczewski a découvert que Joséphine ne pouvait pas assister à son bal de promo en raison de contraintes financières. Alors que son propre bal de fin d’année approchait et qu’il lui manquait un rendez-vous, il a vu une opportunité de le rendre extraordinaire pour sa grand-mère bien-aimée.
Au départ, il a invité Joséphine à être sa cavalière pour le bal, mais elle a refusé. Elle a exprimé sa satisfaction de se sentir aimée, en particulier pendant le week-end de la fête des mères. Mais Ganczewski persiste. Finalement, il a convaincu sa grand-mère. Le jour du bal, Joséphine s’est parée d’une jolie robe complétée par un corsage. Malgré ses inquiétudes initiales quant à ses capacités de danseuse, elle a vite découvert que le véritable plaisir de la soirée résidait simplement dans le fait d’être avec son petit-fils. Dans une interview sincère avec CBS Los Angeles, Ganczewski a exprimé sa profonde affection pour sa grand-mère, la décrivant comme la femme la plus importante de sa vie. Il a souligné que sans elle, sa mère n’existerait pas et lui non plus. Joséphine a rendu cet amour en retour, réfléchissant à son hésitation initiale lorsque son petit-fils lui a proposé de l’emmener au bal de promo.
Elle a avoué se sentir trop vieille pour un tel événement, mais Ganczewski était inébranlable dans son insistance sur le fait qu’elle était son seul choix. Malgré l’incertitude de Joséphine quant à sa familiarité avec les tendances de la danse moderne, elle a décidé de faire de son mieux. Touchée par la détermination de son petit-fils à la faire se sentir chérie, elle a exprimé sa gratitude en déclarant : « Pour le reste de ma vie, aussi longue soit-elle, je n’oublierai jamais qu’il voulait amener sa grand-mère et me faire passer un bon moment. Cela, pour moi, est très spécial.
Comme si ce geste n’était pas assez réconfortant, la soirée de bal de fin d’année de Joséphine s’est terminée par un plaisir inattendu : elle a été couronnée reine du bal, réalisant ainsi un rêve qu’elle nourrissait depuis 1961. Cette soirée magique, pleine d’amour et de joie, a magnifiquement illustré l’importance du lien entre un petit-fils et sa grand-mère.